Le commissaire superviseur de la CEI, du district du ZANZAN, des régions du BOUNKANI et du GONTOUGO, a tenu à Bouna une séance d’échanges autour des élections du 2 septembre avec les populations et les candidats. Le superviseur de la CIE BAMBA SINDOU, a expliqué les règles du jeu et les candidats ont réaffirmé leur engagement à promouvoir la cohésion sociale pour des élections apaisées dans la région du Bounkani.
Elections locales du 2 septembre prochain, beaucoup de localités dans les zones d’ADIAKE et d’ASSINE sont derrière la lagune. Ce qui pourrait être une raison d’inquiétude pour les électeurs qui y sont. Mais la Commission Electorale Indépendante tient à rassurer ces populations que toutes les dispositions sont prises pour leur permettre d’accomplir leur devoir civique.
Junior CARDIN, notre envoyé spécial, dans le Sud Comoé a tendu son micro au Président départemental de la CEI a ADIAKE, Siriki OUATTARA……………………………………………..
Pour les gestes utiles, nous recevons le président de l’Association des Electeurs de Côte d’Ivoire, organisation de la société civile engagée dans la promotion des élections démocratiques, structure accréditée par la CEI. Pour ce numéro des gestes utiles, Boniface Boyou explique ici les différentes étapes du vote.
En prélude aux municipales prévues pour le 2 septembre prochain, la commission sous-préfectorale de la CEI de Fronan, a renforcé les capacités des agents électoraux sur l’utilisation des tablettes numériques. C’était le 27 août, à Katiola, d’où nous appelle Joseph Assalé, notre correspondant régional dans le Gbêkê.
La Commission Electorale Régionale de la Bagoué, présidée par le professeur Fané Losseni est à la tâche pour le bon déroulement des élections couplées municipale et régionale dans la région. Outre les chiffres sur les bureaux et lieux de vote, le président Fané Losseni touche du doigt l’aspect sécuritaire en plus des dernières consignes reçus concernant la proclamation des résultats au soir du 2 septembre prochain. On l’écoute au micro de Marcel BONY
Pour les gestes utiles, nous recevons le Président de l’Association des Électeurs de Côte d’Ivoire, organisation de la société civile engagée dans la promotion des élections démocratiques, accréditée par la Commission Électorale Indépendante-CEI. Pour ce premier numéro, BONIFACE BOYOU parle de ce que c’est la campagne électorale ? Du déroulement de cette phase du processus électoral et de ce que doivent faire les candidats et les électeurs durant cette période ?
Depuis ce vendredi 25 août, la commission électorale de Bouaké 2, forme ses 670 agents des bureaux de vote dans la perspective des élections municipales et régionales du 2 septembre prochain. Occasion saisie par Kandé Losséni, le président de la commission électorale de Bouaké 2, pour inviter les apprenants à plus de neutralité et de responsabilité pendant le scrutin.
Le compte-rendu de Joseph Assalé, notre correspondant régional dans le Gbêkê .
La Commission électorale indépendante, CEI, a annoncé hier le rejet de six (6) dossiers de candidatures sur 129. Et dans ce lot figure celui de Dénis Kah Zion, candidat investi par le PDCI-RDA dans la région du Cavally, circonscription n°17. Ce dernier tout en indiquant qu’il comprend le motif du rejet de son dossier de candidature laisse entrevoir une non acceptation de celui-ci. Ecoutons-le, joint au téléphone par AHOUSSI Pothin.
Dans la région du Hambol, deux cents réclamations issues du contentieux de la liste électorale ont été enregistrées. Après validation, celles-ci ont été affichées le samedi 24 juin dans les lieux de vote ouvrant ainsi la phase de recours devant les tribunaux. L’information a été donnée aux populations par le superviseur régional de la CEI (commission électorale indépendante), du Hambol, à l’occasion d’une rencontre à Katiola.
On en sait un peu plus avec Joseph Assalé, notre correspondant régional dans le Gbêkê.
Election locales de 2 septembre 2023, la Commission Electorale Indépendante a décidé de prendre en compte le découpage électoral de 2018 contrairement à sa décision initiale d’appliquer le décret de 2010. Le porte-parole de la structure en charge des élections à indiquer le lundi dernier dans un point-presse, que c’est à la demande du ministre de l’intérieur et de la sécurité, qu’elle a pris une telle décision.
Pour l’enseignant en droit administratif qu’est Docteur Landry Amoussou, la saisine directe de la CEI par le ministère de l’intérieur pose un problème de procédure juridique, il pense également que pour des élections apaisées, la CEI aurait dû privilégier les textes qui ont fait l’objet de consensus au lieu du décret de 2010 qui fait débat. Docteur Landry Amoussou est interrogé par jean Claude Kome.
