Notre invite ce matin est Arthur Banga,il est historien specialiste des questions securitaires.
Avec notre invite nous parlons des accords militaires de defense entre la France et les anciennes colonies francaises.
Arthur Banga répond aux questions de Constant Mahilet.
« La vague de chaleur, sévissant en Cote d’Ivoire depuis le mois de décembre 2022, n’est pas sans risque c’est-à-dire n’est pas sans danger pour la santé des populations » dixit Professeur Ouattara Souhalio, Pneumologue, Allergologue, Enseignant-Chercheur à l’UFR de Sciences Médicales de l’Université Félix Houphouët-Boigny de Cocody. « Buvez de l’Eau, buvez de l’Eau, buvez beaucoup d’Eau pour vous mettre à l’abri des risques en lien avec la chaleur actuelle » recommande (avec insistance) le Professeur Ouattara Souhalio qui s’en explique. Nous l’écoutons.
La chaleur qui s’est installée sur la Côte d’Ivoire depuis le mois de décembre dernier (c’est- à-dire décembre 2022) a pris de l’ampleur en Janvier 2023 et surtout en février. Au point ou plusieurs personnes s’interrogent sur les causes, quand d’autres n’hésitent pas à parler d’un seuil de l’insupportable atteint avec cette chaleur en Côte d’Ivoire. Approchés pour en savoir plus, les services de la Météo font savoir que ce phénomène de chaleur, qui balaie le pays, est parfaitement du domaine du normal. Que ce phénomène est une transition entre la saison sèche et la saison des pluies qui commence logiquement à la mi-mars dans la zone du littoral ivoirien. Là-dessus, suivons l’éclairage de Firmin Yah Kouakou, Docteur en Météorologie, chef du Département Météo à la Direction de la Météorologie nationale (SODEXAM).
Le dernier temps fort de cette édition est l’invité de la rédaction. Et celui qui est en ligne en ce moment, est le Point focal de l’opération d’évacuation des ivoiriens de la Tunisie vers la Côte d’Ivoire dans le cadre de la crise migratoire Tunisienne. Il est par ailleurs le Directeur Général de la Diaspora au Ministère d’Etat, Ministère des Affaires, de l’Intégration Africaine et de la Diaspora. L’entretien entre Docteur Gaoussou Karamoko et Marthe Kakou porte notamment sur la situation des migrants subsahariens en Tunisie. Une interview à suivre immédiatement.
Menaces sur les Ivoiriens vivant en Tunisie. Un premier groupe en détresse et au nombre de 145 personnes, a regagné Abidjan samedi soir. Ces ressortissants ivoiriens ont été accueillis à leur descente d’avion à l’aéroport Félix Houphouët Boigny d’Abidjan par Patrick Achi le Chef du gouvernement ainsi que plusieurs de ses membres. Et face à cette crise, comment réagissent les Mouvements des droits de l’homme et que font -ils pour que la situation de ces migrants subsahariens s’améliore ? Eléments de réponse avec Bamba Drissa, le Président du Conseil d’Administration du Mouvement Ivoirien des Droits Humains – MIDH
Noé, localité du sud-est de la Côte d’Ivoire situé à 187 km d’Abidjan. C’est avec soulagement que ses populations disent avoir accueilli l’annonce par les autorités ivoiriennes, le 15 février, de la réouverture de sa frontière avec le Ghana fermée depuis 2020 à cause de la pandémie du covid-19.
Car sa réouverture marque pour elles la fin d’un calvaire de trois ans. Se réjouissent ainsi les populations de Noé dans ce dossier d’actualité de Francis Kassi.
Ces dernières semaines, la parole raciste et les discours de haine ont pris une ampleur nouvelle, encouragés par la montée du Parti Nationaliste Tunisien, qui réclame l’expulsion des migrants subsahariens, puis par le discours du président tunisien qui s’est prononcé récemment lors d’un Conseil National de Sécurité convoqué sur le sujet. Comment en est-on arrivé à cette situation ? Pour en savoir plus, on écoute les explications de Docteur Gaoussou Karamoko, Point focal de l’opération d’évacuation des ivoiriens de la Tunisie vers la Côte d’Ivoire. Il explique ici les raisons majeures de la crise migratoire en Tunisie à travers ce tableau qu’il dépeint.
Abidjan a abrité récemment une conférence régionale sur un Partage des connaissances pour des partenariats sur l’élimination du travail des enfants dans les chaînes d’approvisionnement.
Cette conférence régionale ambitionne de favoriser l’échange de connaissances et surtout de faciliter la création d’expériences de partenariat intra-africain et par le biais de la coopération Sud-Sud. Sur un projet dénommé ACCÉL Africa.
Le projet ACCEL Afrique est une initiative de l’OIT financée par le gouvernement des Pays-Bas pour quatre (4) ans, avec pour objectif principal d’accélérer l’élimination du travail des enfants en Côte d’Ivoire dans les secteurs du (cacao et des mines d’or), en Egypte (coton), au Malawi (café et thé), au Mali (coton et mines d’or), au Nigeria (cacao et mines d’or) et en Ouganda (café et thé). Yvette Daoud est la représentante des pays bas ,elle nous présente les grandes lignes de ce projet ,elle est avec Mata TOURE.
