Avant la présidentielle d’octobre 2025, à l’instar d’autres villes de la Côte d’Ivoire qui ont connu ces dernières années des violences pendant les scrutins, l’OIDH (l’Observatoire Ivoirien des droits de l’Homme) vient de rencontrer les journalistes, les cybers activistes et administrateurs de plateformes de Divo, ville réputée en Côte d’Ivoire pour ses débordements. Ce dossier se penche sur les conséquences du partage des fake news et des rumeurs sur les réseaux sociaux avant pendant la période électorale. En ligne de Divo, notre correspondant régional Abel César Cassin.

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